Décryptages et prospectives des usages de l'influence collective

6 janv. 2014

Tom Lowe
6 janv. 2014

6 tendances du brand content B2B en 2014

Unanimes. Une étude américaine démontre que 93% des marketeurs B2B utilisent le brand content dans leur stratégie. Il est clair que la traversée de l’Atlantique ne devrait pas prendre beaucoup de temps pour impacter nos marketeurs. Voyons ce que 2014 leur réserve en matière de brand content...

58% des marketeurs (toujours américains), sont conscients de leur manque d’efficacité en matière de gestion du contenu. Eh bien nous, Social Dynamite, nous allons les aider un peu et en profiter pour nous donner un peu d’avance en identifiant 6 tendances en matière de contenu B2B.

1. Les réseaux sociaux comme leviers de performance pour le contenu BtoB

Les médias sociaux offrent un premier niveau d’échanges pour générer des leads, des commentaires, télécharger des livres bancs et inscrire des prospects aux newsletters. Ils agissent directement sur le référencement et la fidélisation. Ces mécanismes fonctionnent très bien en BtoB. Chez Social Dynamite, 81% des demandes reçues sur son site sont issues du BtoB.

L’étude américaine du marketing Institute indique que les marketeurs BtoB utilisent en moyenne 6 plateformes sociales. Ils investissent principalement sur les médias sociaux SlideShare, Google+ et Instagram. Les objectifs prioritaires restent le travail sur la notoriété et l’image ainsi que la génération de leads.

Quant à l’efficacité, la préférence des grands groupes va à LinkedIn puis à You Tube ; là où les entreprises moins importantes, vont plébisciter LinkedIn d’abord, puis Twitter et Slide Share.
Les plateformes de social media qui ont connu la plus forte augmentation en termes d’usage sont SlideShare, Google+ et Instagram.

 Source : Content Marketing Insitute 2013

 

2. Le lean content

Par lean content, entendons optimiser l’impact de sa marque avec un minimum de ressources grâce au contenu. Primeur absolue à l’agilité. L’objectif du lean content est de tester les procédés de diffusion ou de production de contenu qui fonctionnent le mieux. En somme, de produire du contenu facilement partageable d’une plateforme à l’autre, recontextualisable et réutilisable dans le temps.

Exemple.
Vous préparez une présentation dans le cadre d’un événement. Avant la manifestation, vous envoyez 1 ou 2 slides de teasing pour attirer votre futur public. Ensuite, vous postez l’intégralité de la présentation sur SlideShare, la vidéo réalisée sur place sur You Tube et vous déclinez les messages de votre présentation sur plusieurs articles de contenu. Vous entrez dans la logique de performance de votre visibilité grâce à un contenu identique mais démultiplié. Lire l'article de Project Studio : Lean Content..sorry, What? ou écouter le dernier Consocast de Consonaute sur le lean content.

3. Convergence entre événementiel et marketing digital

Les acteurs de l’évènementiel ont identifié le marketing digital comme un levier de performance. Plus encore les professionnels du marketing digital utilisent l’événement pour digitaliser les contenus. Ils peuvent appliquer le lean comme cité ci-dessus, ou même adopter une véritable stratégie de gestion des contenus en utilisant un outil de gestion de contenus et en systématisant la curation. 
C’est une bonne nouvelle pour les budgets de l’événement à condition d’être compétent en marketing digital.

C’est ce que décrit, Julie Carlier, Président de MPI, lors de sa récente intervention au EIBTM.

Digital Marketing for Events - How to Schedule Live Influence ! EIBTM talk by Julien Carlier

4. La vidéo

D’ici à 2014, la vidéo devrait représenter 50 % du trafic Internet. Il ressort de l’étude de Brainshark que pour 46 % des individus, voir un produit ou un service mentionné dans une vidéo en ligne les encourage à rechercher plus d’informations à son sujet.
Encore une fois, le lean content se trouve comme un poisson dans l’eau avec le sujet de la vidéo : un bon smartphone, un pied photo, et c’est parti. Sinon, comme tout sujet, il y a aussi des experts qui connaissent les tendances et garantissent un certain niveau de qualité.

5. Les Twitters cards

Encore et toujours le visuel. Suivant le livre blanc édité par Vision critical, les Twitter cards attirent 55% de leads en plus que les tweets qui ne contiennent pas d’images. Même si cette étude se base sur un public BtoC, cette approche est transposable en BtoB. 

6. La mobilité

Le paysage social média s’enrichit constamment de tas de petits nouveaux : les Vine, Snapshat, Pheed ou Line constituent des pistes potentielles. Par chance, chacun adopte un positionnement relativement clair. Pheed (première application téléchargée sur l’Apple Store) pour les journalistes et les artistes, Line pour les familles et les gamers, Snapshat pour les jeunes.
Ce qu’il faut retenir, c’est que l’approche des réseaux sociaux évolue clairement vers un usage mobile à l’image de Line qui est une application développée exclusivement pour smartphone et qui compte aujourd’hui la présence d’une centaine de marques. Ou encore, le suivi et les mises à jour de tous les profils et pages société LinkedIn et Facebook. Usage qui devrait devenir dominant à terme.

Conclusion

Pour ne pas passer à côté des tendances et optimiser sa communication digitale, difficile de ne pas montrer que la plateforme Social Dynamite est à la pointe. Son ergonomie et sa simplicité vous permettent d’adopter toutes les approches lean que vous souhaitez, les vidéos sont plus que bienvenues, la version responsive live en 2014 s’adapte à la mobilité et les canaux sociaux montant sont agrégés régulièrement : comme la page entreprise LinkedIn en 2013.

Photo credit : BigStock

 

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