Aujourd'hui, les réseaux sociaux sont devenus une étape incontournable de la communication : on ne s'engage plus pour obtenir un avantage concurrentiel mais pour ne pas être en retard. Les opportunités de ces canaux de communication sont trop grandes pour pouvoir se permettre de rester à l'écart.

Or, si la grande majorité des dirigeants d'entreprises s'accordent à dire que la communication digitale est aujourd'hui indispensable pour leurs marques, ils restent souvent démunis face à la vitesse de circulation de l'information. Qui plus est, ils sont encore peu à s'engager personnellement du fait de leur autres obligations (voir notre article sur le sujet en anglais).

77 % des dirigeants admettent ne pas ou peu surveiller (ou faire surveiller) les actions de leurs concurrents sur la toile, alors qu'une veille continue leur permettrait d'avoir une idée des campagnes qui fonctionnent. En outre, peu d'entreprises mettent en place des chartes visant à définir clairement ce qui est ou non acceptable de diffuser sur les réseaux, en tant qu'employé, sur son entreprise ou sa marque. Pourtant les premiers ambassadeurs des marques sont bien internes, direction en tête et employés ensuite. Un des freins les plus souvent cités concerne la gestion les interventions négatives : la transparence est de rigueur (voir notre article sur le bad bug-buzz Facebook).

Enfin, avec l'évolution des moteurs de recherche, même en matière de référencement, avoir une bonne stratégie social media s'avère de plus en plus payante pour gagner en visibilité et pour être présent au sein des conversations concernant son secteur ou sa marque.

Merci à nos sources : Dirigeants et réseaux sociaux: Se poser les bonnes questions

Étude menée par IBM sur 1700 dirigeants d'entreprises sur leurs rapport aux réseaux sociaux (en anglais)