Les marques et les entreprises tendent de plus en plus à adopter ce nouveau mode de communication, aujourd’hui appelée stratégie de marketing d’influence qui consiste à mettre en place des partenariats avec des influenceurs. Ils revendiquent un grand nombre d’abonnés dont le volume peut parfois frôler les millions. Mais quelle est leur véritable audience auprès des internautes français ?

Au travers de l’étude Harris Interactive, nous constatons une vraie fracture de générations sur les réseaux sociaux. Les plus de 35 ans n'y sont que très peu actifs. Leur mode d'accès aux marques passe par la presse, le web ou le e-commerce. Quant aux plus jeunes, ils sont saturés d'images, ne savent plus ce qu'ils “like” et ne mémorisent même plus les griffes. Nous sommes dans l'ère du "now & noisy" (l'immédiateté et le bruit), qui génère une surenchère où la marque est tentée d'alimenter du buzz en continu. Une audience partiellement fictive ou éphémère qui risque à moyen terme de se retourner contre eux.

Faut-il donc y voir une mode ou une tendance de fond ? À cette question, 53% des internautes français répondent que c’est une forme de publicité internet qui va s’installer durablement dans la société et prendre plus d’importance.

Extrait de l’article publié sur ladn.eu

Bloggeurs, youtubeurs, instagrammeurs : les marques se les arrachent. Mais que pensent les Français de ces « influenceurs » ? Une étude Harris Interactive pour L’observatoire Cetelem s’est intéressée à l’impact de ces nouveaux ambassadeurs sur la consommation.

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