En quelques années les réseaux sociaux ont remplacé les médias traditionnels, délivrant ainsi un flux d’informations sans filtres, ils sont l’affaire de tous. Les consommateurs y sont très actifs et peuvent donc profiter des informations qu’ils désirent sur une marque, la rendant donc bien plus transparente, publique. Valoriser une entreprise devient donc une problématique et un enjeu majeur pour le dirigeant qui, de sa fonction dirige et incarne la marque.

L’utilisation des réseaux sociaux continuent cependant à faire débat sur l’opportunité ou non qu’un dirigeant d’entreprise, un décideur politique doit s’y exprimer en permanence ou au contraire pour éviter les risques réputationnels. Comment les dirigeants peuvent-ils bien comprendre que, bien utilisés, ces modes de communication sont un formidable outil au service de l’entreprise et du consommateur ?

Pour les collaborateurs, le dirigeant est le référant de l’information lié au groupe, pour le grand public et l’environnement professionnel, il est le porte parole. De ce fait il devient une sorte de média et dès lors sa posture, la maîtrise de la prise de parole sont cruciales. Le droit à l’erreur ne doit pas exister sous peine d’entraîner avec lui l’ensemble de sa société.

Adhérer aux médias sociaux n’est pas chose aisée. Mais le plus grand risque serait de passer à côté. Les entreprises déploient de plus en plus des programmes de collaborateurs ambassadeurs sur les réseaux sociaux, pourquoi le dirigeant en faisant preuve d’exemplarité, ne serait-il pas précisément l’un d’entre eux ?

extrait de l’article sur Frenchweb.fr

Un tweet vous expose à 4 milliards de Dollars US volatilisés en quelques heures et vous fait vous rendre compte combien la parole réactive des dirigeants d’entreprise sur les réseaux sociaux numériques n’est pas une option en 2017…

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